jeudi 16 avril 2009

CRITIQUE DES DERNIERS JOURS DE PARIS DANS "LE POINT"

Publié le 09/04/2009 - Modifié le 10/04/2009 N°1908 Le Point
Apocalypse : Le premier thriller-catastrophe
Julie Malaure
Nicolas d'Estienne d'Orves © Ballel/Sipa


Depuis son roman « Othon », prix Nimier en 2002, jusqu’aux « Orphelins du mal », en 2007, vendus à 65 000 exemplaires en France et traduit en 12 langues, on sait que Nicolas d’Estienne d’Orves , alias NEO, dandy germanopratin de 34 ans, connaît l’histoire de Paris sur le bout des doigts. Et c’est heureux, car seuls ceux qui aiment la capitale à ce point peuvent lui infliger de telles calamités. Dans son nouveau roman, les kidnappings de nouveau-nés s’enchaînent, la Seine quitte son lit, la Porte Maillot explose. En pleine apocalypse parisienne, un couple sur lequel on ne parierait pas : un jeune professeur et une ado surdouée. C’est maigre, mais comme NEO déborde d’imagination, il se pourrait que l’histoire soit plus « profonde » qu’il n’y paraît...


« Les derniers jours de Paris », de Nicolas d’Estienne d’Orves (XO, 428 pages, 19,90 E).

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