NICOLAS D'ESTIENNE D'ORVES

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jeudi 19 avril 2007

Critique des Orphelins du Mal dans Paris Match


neo à 00:23 2 commentaires:

mardi 17 avril 2007

Critique des Orphelins du Mal dans L'Opinion Indépendante


neo à 03:13 Aucun commentaire:

vendredi 13 avril 2007

Critique des Orphelins du Mal dans Valeurs Actuelles


neo à 04:59 Aucun commentaire:

mardi 10 avril 2007

Note sur Les Orphelins du Mal dans Elle


neo à 10:00 Aucun commentaire:

Critique des Orphelins du Mal dans Jasmin


neo à 00:07 Aucun commentaire:

jeudi 5 avril 2007

Critique des Orphelins du Mal dans Lire


neo à 06:27 1 commentaire:

Critique des Ophelins du Mal dans Livre Hebdo


neo à 06:25 Aucun commentaire:

Critique des Orphelins du Mal dans Le Figaro Littéraire


neo à 02:06 1 commentaire:

mercredi 4 avril 2007

Article sur les Orphelins du Mal dans Spectacle du Monde


neo à 09:32 Aucun commentaire:

lundi 2 avril 2007

Articles sur Les Orphelins du Mal dans Madame Figaro et Le Figaro Magazine


neo à 09:10 Aucun commentaire:
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Nicolas d’Estienne d’Orves est né en 1974. Après cinq ans de pensionnat, des études de lettres et des stages dans le milieu de l’opéra, il embraye sur le journalisme et collabore pendant cinq ans au Figaro Littéraire et à Madame Figaro. Il a également travaillé sur France Musique, dont il a été renvoyé pour blasphème et pornographie (si si!). Il est aujourd’hui critique musical (classique) au Figaro et à Classica, et chroniqueur au Figaroscope. A partir de 2001, il a beaucoup (trop?) publié : nouvelles (Le Sourire des enfants morts, Le Regard du poussin, La Sainte famille), essais (Les aventures extraordinaires de l’opéra, Bulletin blanc, Quoi dire quand?, Jacques Offenbach), romans (Un été en Amérique, Rue de l'autre monde; Les derniers jours de Paris)… Parmi ses romans, Othon a reçu le prix Roger-Nimier 2002, Fin de Race le prix Jacques Bergier, Les Orphelins du mal sont traduits en 13 langues. Dans le récit intitulé Je pars à l'entracte (NiL éditions), il s'adresse à un ami mort. Son dernier né, Les Fidélités successives, est une fresque romanesque sur les errements d'un jeune homme dans le Paris de l'occupation.
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